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Après le succès de A et le plus confidentiel S qui a suscité tant de polémiques, Guy de Droit nous offre cette vigoureuse étude consacrée au géantissime, au téradévorant, à l’ogresque Gigabrother ; depuis sa conception primitive en 1997, jusqu’à son multipluripolydéterminimaximissime overtotal supertop actuel, lequel a conduit à une situation où le G est devenu la première lettre de l’alphabet qu’aucune école au monde n’apprend plus qu’ainsi : g, a, b, c, d, e, f, h... avec la question très discutée à l’heure présente, de se demander à quoi finalement toutes ces autres lettres peuvent bien servir.
Sous-titré à dessein Mort à Gigabrother, suivant la tradition gigabroseurienne, l’auteur retrace le parcours de l’institution ultime, destinée à périr sans pouvoir être remplacée. De Droit déploie toute l’envergure du phénomène emblématique de la fin des temps, et de leur rénovation pour laquelle la connaissance de son ouvrage fait partie des choses à « en grand G ». Vautréamont La collection le livre à deux pages, dirigée par Vautréamont, a la vocation de publier autant des oeuvres originales que de rééditer tout le catalogue de la littérature générale condensé en des livres à deux pages, d’un abord simplifié, moins onéreux et moins encombrants. |
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