NAMOR

Amor, anagramme parfaite de Roma, indique assez l’origine du sentiment et sa généalogie retraçant une histoire des affects, qui passe obligatoirement par le roman de chevalerie, accordant au genre littéraire sa coloration « romanesque », orientée, comme par la douce pression de la volupté, par les impressions de l’amour et, bien sûr, celles du drame de la mort qui en fait toute la terrible pesanteur, son cachet qui s’imprime, comme les caractères de plomb dans le papier, dans la chair coupable, dans les contorsions de son plaisir et de sa douleur mêlés. Yvette Stendhal, elle, anagrammant le mot de roman pour en faire son roman Namor, invente le roman anamoresque, non mauresque, détromantisé, roman à mort, dénonçant d’office tout namourisme. Ou bien faut-il croire que son ouvrage serait l’inversion secrète d’un livre intitulé « Roman », qui serait un namor ? Ce n’est pas à Oudivia de la Tournellitay-Physicologuisch Perizz Dedossablagal-Tylangludimolditoa-Chivez, Didou pour les intimes, l’héroïne de Namor, qu’il faudrait poser la question. D’abord parce qu’elle ne parle plus depuis longtemps, et refuse même tout mode de communication, hormis faire scrupuleusement la comptabilité de l’entreprise familiale. Est-ce la raison pour laquelle le jeune Luc tombe éperdument amoureux d’elle, et que peuvent bien signifier les agissements étranges de Didou enlevée par Luc, qui la fait passer pour une handicapée dont il a la charge ? Didou est-elle violée, ou aime-t-elle son ravisseur ? Toutes questions auxquelles le livre répondra avec autant d’exactitude que de pertinence, lorsque la dernière page tombera.Vautréamont

La collection le livre à deux pages, dirigée par Vautréamont, a la vocation de publier autant des oeuvres originales que de rééditer tout le catalogue de la littérature générale condensé en des livres à deux pages, d’un abord simplifié, moins onéreux et moins encombrants.



Amor, anagramme parfaite de Roma, indique assez l’origine du sentiment et sa généalogie retraçant une histoire des affects, qui passe obligatoirement par le roman de chevalerie, accordant au genre littéraire sa coloration « romanesque », orientée, comme par la douce pression de la volupté, par les impressions de l’amour et, bien sûr, celles du drame de la mort qui en fait toute la terrible pesanteur, son cachet qui s’imprime, comme les caractères de plomb dans le papier, dans la chair coupable, dans les contorsions de son plaisir et de sa douleur mêlés. Yvette Stendhal, elle, anagrammant le mot de roman pour en faire son roman Namor, invente le roman anamoresque, non mauresque, détromantisé, roman à mort, dénonçant d’office tout namourisme. Ou bien faut-il croire que son ouvrage serait l’inversion secrète d’un livre intitulé « Roman », qui serait un namor ? Ce n’est pas à Oudivia de la Tournellitay-Physicologuisch Perizz Dedossablagal-Tylangludimolditoa-Chivez, Didou pour les intimes, l’héroïne de Namor, qu’il faudrait poser la question. D’abord parce qu’elle ne parle plus depuis longtemps, et refuse même tout mode de communication, hormis faire scrupuleusement la comptabilité de l’entreprise familiale. Est-ce la raison pour laquelle le jeune Luc tombe éperdument amoureux d’elle, et que peuvent bien signifier les agissements étranges de Didou enlevée par Luc, qui la fait passer pour une handicapée dont il a la charge ? Didou est-elle violée, ou aime-t-elle son ravisseur ? Toutes questions auxquelles le livre répondra avec autant d’exactitude que de pertinence, lorsque la dernière page tombera.Vautréamont La collection le livre à deux pages, dirigée par Vautréamont, a la vocation de publier autant des oeuvres originales que de rééditer tout le catalogue de la littérature générale condensé en des livres à deux pages, d’un abord simplifié, moins onéreux et moins encombrants.
accédez gratuitement à la collection complète en pdf téléchargeable et imprimable (carte 150mg minimum conseillé, reportez-vous aux TxT02, TxT03, TxT04 et pour la reliure prestige, au TxT10) DEUX exemplaires obtenus pour chaque recto-verso