« Certes, je suis un onaniste. Partant de là, l’objet que je fous, rêve ou réalité, ne m’est pas indifférent. Je suis dans une relation d’histoires avec lui »
Au fil des pages et de ses tentatives pour transformer son expérience sexuelle en matériau romanesque, cet « apporteur de joie » connaît une lente métamorphose. Nanti d’un membre viril d’une taille hors norme il s’y identifie peu à peu totalement et devient vraiment un homme à la peau de bite.
L'homme à la peau de bite, roman par Joybringer, traduit de l'anglais (États-Unis) par Michel-Paul Comte, 340 pages.
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