NON, vous ne rêvez pas. Il y a bien le mot bite sur la couverture de ce livre... Il y en a même une ! Aurez-vous l'impertinence, l'audace, l'indécence, la provocation, l'insolence, l'impudeur, l'impudence, le laisser-aller, le j'menfoutisme terminal, l'incroyable dégueulasserie enfin, de lire votre livre en pleine heure de pointe dans le métro, l'air de rien, sous le nez de cette petite fille assise sur les genoux de sa maman, alors que tous les messieurs du wagon ont la leur bien au chaud dans leur calbut ? Mais enfin, que se passe-t-il avec la représentation ? Le show comme on peut le dire aujourd'hui ? Plus rien ne vous arrête ou quoi ? Le risque, oui, le drame, c'est que la petite fille n'en ait rien à foutre... beaucoup plus intéressée par la barre de chocolat fourrée au nougat dans votre autre main... des bites elle ne voit que ça sur internet... partout... son oncle et ses frères lui ont montré la leur vingt fois et ça l'emmerde... mais qu'est-ce qu'ils ont tous ces pauvres types avec leur quéquette ! Elle s'en ferait une idée en lisant ce livre. Sait-elle lire ? Si ce n'est pas le cas, elle ne sait pas ce qu'elle perd ! On gagne toujours à savoir un peu plus par où les attraper, les messieurs, mon enfant... mais pour vous arracher votre livre ou votre barre de chocolat à peine entamés, elle pourra, de toute façon, se brosser. Vous seul savez que, longtemps interdit à la vente, introuvable, épuisé, L'homme à la peau de bite de Joybringer est à nouveau disponible, enfin, dans son texte intégral, dans un monde qui a trouvé la sagesse de tout accepter, avec sérénité, tolérance, liberté de tout dire, de tout exprimer. Un régal.
Sa queue était chaude, longue, palpitante, dure, épaisse et, pour comble, elle commençait à s'entortiller dans ses couilles. Ça lui tiraillait jusque dans les amygdales de la coller, sa pine, et d'urgence, dans un trou bien chaud et bien vaginé, et peu importait ce que le reste, autour du trou, pourrait bien en penser, et même ce à quoi ça pourrait ressembler. C'est à ce moment-là que son instinct de fouteur-né sentit sur son entrejambe un regard qui s'appesantissait. Il faut dire que la bosse que formait son érection dans son pantalon 60s collant écossais faisait rougir les ménagères et s'interroger jusqu'aux bambins dans les poussettes. Mais le regard scrutateur, intéressé, appartenait à quelque chose de moins puceau que ça. Cheveux mi-longs, look androgyne, Joybringer ne sut jamais, une fois ses burnes vidées, si c'était fille ou garçon, ou diable, qui les lui avait si bien vidangées...

Michel-Paul Comte a traduit pour nous ce joyau de la littérature américaine contemporaine. Originaire de Lubbock, Texas, Joybringer porte à l'extrême le goût pour la saillie directe, obsessionnelle, le coup vite tiré, souvent, la fièvre, le besoin de baiser, baiser, baiser... il ne pense qu'à ça. Une libido textuelle déchaînée. Accrochez-vous, ça va bourriner !
« HELLO LA FRANCE... » hurle Joybringer, son si célèbre membre à la main, du haut de l'escalier qui lui tend les marches à la descente de son avion supersonique en forme de bite, le Joyjet, conçu spécialement pour sa tournée mondiale. L'homme aux Ray-Ban Pilots (il en aurait une pièce entièrement garnie dans son manoir de Lubbock, Texas) a promis qu'il battrait son record du nombre de culs défoncés, ouverts, arrachés. Son agent distribue les tickets pour la file d'attente (pour la queue héhé) à même le hall de l'hôtel Regina à l'instant même, au Louvre. Précipitez-vous ! Faites-vous dédi-casser le cul au feutre indélébile, la dernière mode super-débile au pays de Buffalo Bill ! « J'adore Paris... » a ajouté en confidence la porn­star à la plus grosse bite du monde. « Les Français sont tellement des enculés... que je ne sais plus ou donner de la pine ! » (rires) « Quelle différence y a-t-il entre le trou du cul et la bouche ? » a continué ce bite-en-train, en manière de devinette à l'intention des nombreux journalistes venus accueillir le géant américain de l'emmanchage toutes catégories. « Aucune, à part les dents ! » (rires).

Ce livre de souvenirs de Joybringer regorge d'anecdotes aussi pétulantes que superbandantes. Baiser ou lire, ouf, on n'a plus à choisir, et génital peut enfin rimer avec génial !
À CHEVAL sur sa super très très très grosse bite, notre héros traverse les cieux pour enfiler toute la tarlouze internationale, distribuant ardents coups de bite tout en se la faisant régaler, répandant la bonne humeur en s'amusant de tout, tout de suite. Sans suite ? À voir... en tout cas sans drame. Son entrain très communicatif donne autant envie de rigoler que de se branler... Que demander de plus ? Toute bonne baise bien chaude finit toujours par des rires et des sauts de joie, de l'insouciance. Pas 20 ans de malheur ! Que ce petit ouvrage taquin vous porte chance. Prenez-le comme un «bon heur», une rencontre heureuse, un hasard bienveillant, puis laissez-le retourner à la poussière dont il n'est sorti que pour vous égayer... Il aura bien servi son projet. Car c'est de joie dont nous avons besoin, plus que d'eau et d'air encore. Respirez... Reluisez !
« Certes, je suis un onaniste. Partant de là, l’objet que je fous, rêve ou réalité, ne m’est pas indifférent. Je suis dans une relation d’histoires avec lui »

Au fil des pages et de ses tentatives pour transformer son expérience sexuelle en matériau romanesque, cet « apporteur de joie » connaît une lente métamorphose. Nanti d’un membre viril d’une taille hors norme il s’y identifie peu à peu totalement et devient vraiment un homme à la peau de bite.

L'homme à la peau de bite, roman par Joybringer, traduit de l'anglais (États-Unis) par Michel-Paul Comte, 340 pages.
LES BANDEAUX DE L'HOMME À LA PEAU DE BITE

les bandeaux avec lesquels le livre a paru en librairie

978-2-9531181-7-9 JOYBRINGER L'HOMME À LA PEAU DE BITE 25€
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